Lil Silver « La vie m'a tant fait mal, que je ne peux qu'éspérer, espéré qu'elle me prenne en pitier...»

____ Il fut un temps où tout allait bien dans ma vie. Un temps relativement cours cela dit. J'aurais put vivre normalement, être une fille équilibré, avec une famille aimante, peut êtr un frère ou deux, ou aucun même, je m'en serais contenter. Mais non. Durant la première année de ma vie, je grandit normalement, j'avais un père, une mère, qui m'aimais, mais se déchirés. Après tout, je ne comprenais pas, et même aujourd'hui, je ne me souviens pas trop de leur dispute, j'ai juste un horrible sentiment qui m'envahi quand j'entend des gens hurler. Donc, au bout de cette courte année, les choses furent mises à plat, pour papa, il n'était plus supportable de vivre avec ma mère et le divorce fut déclarer. A partir de cette instant, je n'existais plus, j'étais le vestige, pour eux deux, d'une vie antérieur. Une vie qu'il voulait oublier qui plus est. Mon père parti donc dés qu'il put de la maison, ma mère eu ma charge. Elle n'en fut ni heureuse ni déçut. Je n'étais rien. Souvent, je la voyais me détailler, de bas en haut, avec un air parfois dégouter. Pourquoi? Parce que j'avais les yeux de mon père, les cheveux de mon père, les tics de mon pères....et j'en passe. Donc, jusqu'a l'âge de sept ans, ma vie se déroula relativement lentement...mais elle avançait. J'avais des moments de joie, d'autres de peines, mais il cohéxister un équilibre qui me faisais avancer, sans me retourner. Mon père, ne me parlait plus, il avait refait sa vie, à l'heure d'aujourd'hui, j'ai un petit frère, et une soeur en route. Je sais que je ne les vérais jamais, et cela me fait pas. Mon père me manque, constament, j'imagine aussi que certaine souffrance n'aurait pas été les même s'il avait été là... Mais la vie est ce qu'elle est, et il est parti, c'est remarier, et vie heureux loin de sa première fille, une fille qui crère à petit feu.

Mais revenons en à mes sept ans. Un soir, alors que ma mère était sorti dans un bar qu'elle avait l'habitude de fréquenter, après m'avoir dit " Y a de la bouffe dans le frigo, tu te démerdes hein?". Elle était parti. Je m'étais donc retrouver dans un appartement seule. Avec pour nourriture me demerder comme je peux...pour en trouver. Mais ceci ne me choquait pas, encore aujourd'hui je ne suis pas surprise qu'elle face cela. C'était toujours comme ça depuis quelques mois de toutes façon. Ma mère allait se saouler, et revenait à moitier morte. Souvent, je partais me coucher dés qu'elle sortait, ainsi je dormirais, et je n'aurais pas à observer le fiasquo qu'était devenu sa vie, et en parti la mienne. Mais se soir là, les choses furent différentes. Elle revint sobre, et un sourire incruster sur son visage. Et le jour suivant se fut la même choses, la semaine d'après aussi, et durant quelques mois, ma mère revint heureuse. Je n'osais pas poser de question, de peur que tout s'efface, que ma mère qui était devenu plus présente pour moi, reparte se saouler et gache totalement sa vie. Je me taisais donc, en attendant.

Puis un jour, se fut dit, je savais, et je pleurais. " Lil, j'ai rencontré quelqu'un. Tu as dus te rendre compte que j'allais mieux, et c'est grâce à lui. Je l'aime vraiment Lil. C'est pour ça qu'il va venir à la maison". Cela me fit si mal, parce qu'a partir du moment où cette homme franchirait le seuil de la porte, je savais qu'une nouvelle fois, ma vie changeait, revenait au point de départ, et qu'il fallait que j'observe, pour savoir si elle était mieux qu'avant. Et malheureusement, se ne fut pas le cas. Joe, c'est son nom. Même aujourd'hui, quand une autre personne vient me voir avec se prénom, mais que je ne la connais pas, je fuis. J'ai peur, je tremble. Tout sa à cause de lui. Connard! Enfaite, les choses ne dérapèrent pas desuite, non, enfaite, ce fut petit à petit. Au départ, il faisait comme si je n'existais pas. Je faisais de même. Ma mère parlait avec lui, je me taisais. Ce n'était plus la maison de ma mère et moi, c'était sa maison et la sienne, moi, j'étais une espèce d'animal de compagnie encombrant. Puis, ses regards se posèrent sur moi, insistant, détaillant. J'avais beau ne pas le regarder, je le sentais s'il me fixait. Ce n'était pas une regard bienveillant, au contraire, ses yeux étaient remplis de sous entendu, d'idées malhonêtes que je ne cernais pas à l'époque. Au fils des années, il devint plus proche, quand nous regardions la télé il se collait à moi, posait une main sur ma cuisse. C'était des petits signes qui bout à bout pouvait dire quelques choses, mais ainsi, il ne ressemblait à rien de spécial, mis à part de l'amour. Puis un soir alors que j'avais seize ans, tout dérapa. Ma mère le laissa seul avec moi. Ce n'était pas étrange, c'était même banal. Après tout, c'était mon beau père. J'étais parti me coucher tôt, malgrés preque 10 ans que nous vivions ensemble, je ne l'aimais pas. C'était plus fort que moi. J'étais donc dans mon lit quand il avait approcher, il était entrée. J'avais fais semblant de dormir pour ne pas avoir à lui parler, espérant qu'il sortirait vite. Malheureusement il approcha encore, jusqu'a être tout prêt de moi. Il avait chuchotter mon prénom, je n'avais pas répondu. Je voulais qu'il parte, c'est tout. Il s'était accroupi, son visage face au mien. C'est doigts s'étaient poser sur ma joue la caressant. J'avais plisser les yeux, et je l'avais entendu rigoler. Sa main était déscendu jusqu'a mon pyjama, qui n'était rien d'autre qu'un vieux jogging et un derbardeur, et il avait commencer a faire glisser la première ficelle du derbardeur. J'avais réagit bien sur, lui demandant de sortir, l'insultant. Il avait ricanner. C'est tout. Seulement se rire que j'entends encore, et il m'avait plaquer contre le lit. Bien sur, qu'au départ, je m'étais débattu, mais j'avais rapidement perdu mes forces, et au bout d'un certain temps, je n'avais plus rien fait, me laissant faire tel une poupée. Quand il était parti, j'étais brisée, j'étais morte. Morte intérieurement. Le lendemain, je n'étais pas sorti de mon lit, pleurant, tremblant. Impossible pour moi de bouger. Ma petite soeur, fruit de "l'amour" de ma mère et de mon beau père était entrée et m'avais questionner avec le même air prétencieux que son paternelle. La seule chose que j'avais fait, c'était lui hurler de sortir, d'un cris strident, la poussant. Je savais aujourd'hui se que ma mère ressentait quand elle croisait mon regard et qu'elle pensait à mon père, c'était pareille avec Isis, ma demi-soeur.

Mentalement, sa n'allait plus. Plus du tout. Je ne vivais plus, j'étais un véritable robot. Avec les hommes, impossibles de parler, je rester enfermer dans ma chambre, ne mangeais plus. Joe, je ne pouvais pas le voir, entendre sa voix me faisais pleurer, et il vivait sous moin toit! Quelques temps plus tard, je décidais de venir à Venise, ma mère a accepter...Encore heureux.

Cela fait à peine quelques semaines que je suis ici, il y a très peu de gens que je connais, très peux aussi qui veulent me connaître...


____Lil physiquement? C'est très dur a determiner pour quelqu'un qui ne la connait pas vraiment. Tout d'abord, la jeune fille est toujours recouvert d'une pull épait ainsi que d'un blouson plutôt laid qui descent jusqu'au genoux. Il est donc très difficile d'apecevoir son corps plutôt svelte quoi que c'est dernier temps un peu trop maigre et ses courbes plutôt propotionner. Elle met aussi une longue echarpe qui cache tout le bas de son visage, ne laissant à peine voir ses yeux d'une marron clair mélangé de vert qu'elle baissent quasiment toujours vers le sol. Ses long cheveux chatain clair lui tombent jusqu'a la moitié du dos, mais elle les attache constament ou les tresses, elle a aussi une frange qui l'aide encore à se cacher du monde qui l'entours. Lil n'est pas très grande, elle est dans la norme disons. Elle était vraiment jolie avant l'évènement qui a tout boulverser, elle s'habiller bien, avait du goût, aujourd'hui, elle a peur de se que les autres pourrait pensée d'elle, surtout les garçons...Elle se camoufle donc, ne ressemble à rien, et s'en contente.



____Lil psycologiquement? C'est très dur de décrire la jeune fille. Elle va mal, très mal. De ce fait, elle n'arrive pas à avancer. Elle a une peur bleu des garçon, même dans la rue, si elle se retrouve seul avec seulement un garçon, même sur l'autre trotoire, elle partira rapidement. Sa confiance en elle a été lapider, elle a peur de ses "instincts" qui ne l'on pas prévenu contre Joe, de ce fait, elle ne s'attache pas au gens, essaie même de les fuir, elle reste donc cloitrer chez elle et sort seulement pour aller au lycée. Ses sentiments sont aussi flou, un rien lui fait peur, la blesse ou la fait pleurer. Il faut donc la prendre avec des pincettes. Sinon, si vous arrivez a devenir proche d'elle, à faire tomber ses défenses, et à l'approcher telle qu'elle est, c'est une fille formidable. Elle est très indépendante, elle ne se repose pas sur les gens et, est habituer à aider. C'est pour sa qu'a seulement 17 ans, elle vit déjà seul dans une ville totalement inconnu avec une langue qu'elle ne métrise pas parfaitement. Elle est très généreuse, elle a apprit à donner sans recevoir en retour, à cause de sa mère qui n'a jamais été là pour elle. Lil est très terre à terre, elle ne rêve pas d'une vie qu'elle sait qu'elle ne pourrait pas avoir, elle est donc très réaliste sur les choses qui l'entours.

WHO IS STEPHANE 19/01/93 17 ans Keira Knightley

Alex Wood:
A force de temps, elle l'acceptera dans sa vie. Mais les choses ne seront pas simple car la jeune fille est très, très farouche.

Stéphane:
Elle ne le connais que de nom, que de rumeur, étant donner qu'elle est arrivée à Venise depuis quelques temps.


Edwige Bërry:
Lil apprécie la jeune fille, parfois, elle l'envie de pouvoir vivre aussi librement. Il n'empêche que Lil se sent un peu mieux avec elle qu'avec les autres. Lil ne lui à jamais parler de ce qu'il c'est passé avec son beau père.