Janvier 2006 à Venise


Des dixaines d’élèves étaient regroupés autours de Stéphane. Le garçon se sentait mal, oppresser. Levant la tête, il se mit à chercher un regard qui ne serrait pas accusateur. En vain. Les filles avaient les mains sur les hanches, et le fixaient lèvres pincées, remuant la tête en chuchottant. Les garçon, eux, avaient les poing serrer, les sourcils froncer et ne se gênés pas pour l’insulté. L’adolescent frissona, et chercha une issus. Il n’y en avait pas. Ils formaient autours de lui une masse compacte d’où n’échapper aucune lumière.
Soudain un garçon hurla dans la foule :
_ Salop ! Tu les as tué !
_ Ouais ! Enculé, on va te faire la peau.
Des dizaines d’élèves acquiescèrent à voix basse. Stéphane frissonna. Il avait peur. Comment en était-il arrivé à là ? Il essaya de se remémorer les derniers évènements. Pour lui, il ne coïncidaient pas. Deux semaines plus tôt, il se souvenait être entré dans le gymnase du collège. Et ressorti, tout avait déraper. Pourquoi ?
C’était simple, s’était retrouvé au mauvais endroit, au mauvais moment. Parce que dans le gymnase, au milieux des ballons et des cordes-à-sautés il y avait quatre corps. Inanimés. Stéphane s’était approcher, pantelant, et laisser tomber à genoux près des adolescents. Il effleura une des marques de couteau sur un des corps. A peine avait il eu le temps de mettre des noms sur les visages livides que d’autres élèves avaient afflués accompagné du directeur.
Stéphane avait été tout de suite accusé et l’histoire avait rapidement était connu de tout le monde. A se jour, personne ne savait s’il était vraiment le meurtrier, mais tout les élèves du collège le penser.
_ Attrapez le ! Hurla soudain un garçon.
L’adolescent ouvrit à peine les yeux qu’il était assaillit. Les coups fusèrent, et il ne put même pas répondre. Il dut se laisser faire. En songeant au fait, que quelques jours plus tôt, ces gens étaient ses camarades de classe.

L’histoire fut ettoufer, et personne en dehors des habitants de Venise ne furent au courant. Stéphane ne fut jamais condamner, personne ne réussit à prouver s’il était l’assassin ou non. Et le garçon, si amical et prévenant devint froid et rancunier. Il voulait leur faire payer. Mais à treize ans, comment pouvait ont se venger de dizaine d’élèves, tous unis contre vous.

Janvier 2010 à Venise

La jeune femme courrait dans les couloir du lycée, elle était en terminal. Si elle avait connu l’ironie de cette apélation à l’époque, elle se serait sûrement méfier. Sa course la mena dans le gymnase, dans la salle de basket. En pleur, tremblante, elle se retourna vers la personne qui la poursuivait. Cagoulé, elle ne pouvait distingué son visage et c’est, le cœur battant à mille à l’heure, qu’elle le regarda avancé. Quand il fut tout près d’elle, elle n’avait toujours pas réagit, elle savait qu’elle était fichu, la seule entrée elle l’avait empreinté pour entrée dans la salle.
_ Amelia, dit la voix menaçante derrière la cagoule.
_ Stéphane ? Fut la dernière chose que la jeune fille put dire.

Etait ce Stéphane ? Personne ne le sait. Mais les des évènement similaire ne cesse de se passer dans le lycée *************************. Mais cela n’arrive pas à n’importe qui, juste à ceux de la 3B, la classe de Stéphane quand celui-ci était en 4émé.
Est il venu se venger ? Après tout, il ne vaut mieux pas savoir, car à se moment là, il est trop tard.